Cette déclaration appelle notamment à "rectifier les conséquences des saisies illégales de propriétés, comme les confiscations et les ventes forcées (...) qui ont accompagné les persécutions de ces personnes innocentes" par les nazis.
Fruit de long mois de discussions, la déclaration dite de "Terezin" -du nom d'un ancien ghetto juif situé au nord de Prague- a été finalisée au cours d'une conférence organisée à Prague depuis vendredi par la présidence tchèque de l'UE.
"C'est la déclaration la plus complète et la plus poussée concernant les biens de l'Holocauste, elle couvre des points jamais abordés comme les aides sociales aux survivants et la restitution des propriétés privées", a déclaré à la presse Stuart Eizenstat, le chef de la délégation américaine.
Les signataires s'engagent notamment à élargir l'accès aux archives pour faciliter l'identification des biens confisqués, un point jugé essentiel par les experts.
Romandie News