Lors de son passage au Festival de Berlin, Philippe Mora a annoncé avoir découvert deux films de propagande nazie tournés en 3D.
"Ces films ont été réalisés par un studio indépendant pour le ministère de la Propagande de Goebbels, et on les qualifiait de 'raum film' —”films dans l’espace”— ce qui est peut-être la raison pour laquelle personne n’avait réalisé depuis qu’ils étaient en 3D. Leur qualité est fantastique (…). Les nazis enregistraient tout et chaque image était vérifiée. C’est ainsi qu’ils ont réussi à prendre le contrôle du pays et de la population."
les inRocks
19 février 2011
16 février 2011
25000 morts lors du bombardement, selon les historiens
Le bombardement allié de la ville allemande de Dresde en février 1945 a fait jusqu’à 25 000 morts, avait conclu l’an dernier une commission d’historiens chargée de faire la lumière sur le nombre de victimes de cet épisode controversé de la Seconde Guerre mondiale.
DNA
DNA
12 février 2011
En images : les bunkers abandonnés de la seconde guerre mondiale
Ces mastodontes de métal et béton échoués sur les plages hollandaises, belges et françaises représentaient le fameux Mur de l'Atlantique. Si les alliés ont opéré de sanglantes percées dans ce réseau de fortifications à l'été 1944 en Normandie, aujourd'hui, en certains endroits ils subsistent comme les derniers témoins de la Seconde Guerre mondiale.
Fluctuat.net
Fluctuat.net
07 février 2011
Un Belge assure avoir rencontré Martin Bormann en Bolivie
Un Belge assure que le criminel de guerre nazi Martin Bormann, officiellement déclaré mort en 1945, a vécu au Paraguay et en Bolivie après la guerre où il l'a rencontré vivant sous l'identité d'un religieux, dans un entretien publié samedi par le quotidien la Derniere Heure.
Collaborateur condamné à mort en Belgique en 1946, Paul van Aerschodt, 88 ans, vit sous le nom de Pablo Simons à San Sebastian, en Espagne, où l'a rencontré un journaliste du quotidien, Gilbert Dupont.
leParisien.fr
Collaborateur condamné à mort en Belgique en 1946, Paul van Aerschodt, 88 ans, vit sous le nom de Pablo Simons à San Sebastian, en Espagne, où l'a rencontré un journaliste du quotidien, Gilbert Dupont.
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