Un des derniers survivants du camp de Sobibor, qui témoignait mardi au procès de John Demjanjuk, accusé de complicité de meurtres dans ce camp d'extermination nazi, a dit faire toujours des cauchemars.
"Je ne peux pas ne pas y penser", a affirmé Thomas Blatt, 82 ans, dont les parents et le frère font partie des quelques 250.000 personnes, pour la plupart des Juifs, liquidées pendant la Seconde Guerre mondiale dans ce camp du sud-est de la Pologne.
AFP
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