
Elle a été informée, deux ans après la mort de son mari, qui a dirigé la Yougoslavie depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu’à sa mort, qu’elle ne pouvait pas toucher de pension, car elle ne disposait pas de pièces d’identité et parce que «Tito ne touchait pas de salaire». Dans cette première interview depuis trente ans, elle n’a guère évoqué la politique actuelle sinon pour affirmer : «Cela fait des années qu’une affreuse campagne est menée contre Tito, des années qu’on essaye d’attiser les passions, au lieu de les calmer.»
Libération.fr
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